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Née à Paris, c’est vers l’âge de 10 ans, lors d’une visite scolaire au musée du Louvre que la passion pour les Arts se révèle. Elyane Boutry commence à dessiner et peindre.
Ne pouvant suivre un cursus artistique, elle parfait ses connaissances d’autodidacte en visitant moult musées, galeries, expos, enrichie d’une abondante lecture de livres d’art, de biographies d’artistes.
C’est en découvrant l’oeuvre du peintre Nicolas de Staël que sa passion pour l’abstraction voit le jour. Elle abandonne progressivement le figuratif. Pratiquant les Arts-Martiaux, Aïkido et karaté, cela lui donne une force et une gestuelle toute particulière, intensifiée par l’utilisation exclusive du couteau. La toile évolue en couches successives de matière et de couleurs, diluées ou non, grattées, griffées dans un combat intime.
Comme elle le dit souvent, lorsqu’elle se prépare à une séance de travail, elle « rentre en peinture » tant son besoin de concentration, de silence et d’abnégation est nécessaire pour capter au tréfonds d’elle-même cet « état de grâce », mû par une quête émotionnelle incessante de l’émanation intrinsèque de l’Être, de l’Âme.
Au fil des années, la matière s’allège, s’affine vers plus de transparence, de lumière et c’est ainsi qu’elle explore parallèlement le verre et le vitrail.
Par ce nouveau médium, l’envie de s’exprimer, de dénoncer devient essentielle.
« Notre monde étant totalement saturé d’images, virtuelles ou non, l’inspiration m’est venue de créer des vitraux où le caractère classique et sacré est détourné par le message, la forme. »
Elle réside pendant quelques années à Bruxelles avec son compagnon Wim Taciturn, fameux collagiste belge.
C’est auprès de lui qu’elle découvre ce nouvel art qui l’amène tout naturellement à le pratiquer, pouvant ainsi signifier, détourner les images.
Elle fait les photos de ceux-ci qu’elle agrandit et les imprime pour certains en grand format sur dibond (plaque d’aluminium) et sur de grandes bâches.
Ne pouvant suivre un cursus artistique, elle parfait ses connaissances d’autodidacte en visitant moult musées, galeries, expos, enrichie d’une abondante lecture de livres d’art, de biographies d’artistes.
C’est en découvrant l’oeuvre du peintre Nicolas de Staël que sa passion pour l’abstraction voit le jour. Elle abandonne progressivement le figuratif. Pratiquant les Arts-Martiaux, Aïkido et karaté, cela lui donne une force et une gestuelle toute particulière, intensifiée par l’utilisation exclusive du couteau. La toile évolue en couches successives de matière et de couleurs, diluées ou non, grattées, griffées dans un combat intime.
Comme elle le dit souvent, lorsqu’elle se prépare à une séance de travail, elle « rentre en peinture » tant son besoin de concentration, de silence et d’abnégation est nécessaire pour capter au tréfonds d’elle-même cet « état de grâce », mû par une quête émotionnelle incessante de l’émanation intrinsèque de l’Être, de l’Âme.
Au fil des années, la matière s’allège, s’affine vers plus de transparence, de lumière et c’est ainsi qu’elle explore parallèlement le verre et le vitrail.
Par ce nouveau médium, l’envie de s’exprimer, de dénoncer devient essentielle.
« Notre monde étant totalement saturé d’images, virtuelles ou non, l’inspiration m’est venue de créer des vitraux où le caractère classique et sacré est détourné par le message, la forme. »
Elle réside pendant quelques années à Bruxelles avec son compagnon Wim Taciturn, fameux collagiste belge.
C’est auprès de lui qu’elle découvre ce nouvel art qui l’amène tout naturellement à le pratiquer, pouvant ainsi signifier, détourner les images.
Elle fait les photos de ceux-ci qu’elle agrandit et les imprime pour certains en grand format sur dibond (plaque d’aluminium) et sur de grandes bâches.